En 1950 est apparu, dans les éditions originales des non-Maigret, un retour à la couverture photographique en noir et blanc, après une série de couvertures illustrées de dessins. Cela coïncide aussi avec l’abandon des jaquettes illustrées des premiers Maigret parus aux Presses de la Cité, et ces romans vont également connaître une couverture photographique en noir et blanc, comme une sorte de “retour aux sources”, un rappel des premières éditions chez Fayard. Néanmoins, alors que sur les non-Maigret le nom de l’auteur se présente en écriture calligraphique de couleur rouge, pour les Maigret, on choisit le blanc pour le nom de l’auteur, tandis que le nom du héros a droit à une déclinaison de tons irisés.